À présent que la fièvre électorale monte graduellement aux USA, il est intéressant de voir comment les choses se présentent dans le thème de Trump. La semaine dernière, on a analysé les fridaires et on a vu clairement que les fridaires sont un instrument de prédiction simple mais extrêmement efficace. Et en outre, les fridaires semblent aussi très prometteurs pour Trump. Ce qui ne veut pas dire pour autant qu’il va à coup sûr faire un come back à la présidence, mais il a de bonnes chances.  Pour examiner ceci plus avant, il est bon de jeter un œil sur les profections.

Principe de douze

Les profections ne sont pas une méthode prédictive qu’on trouve quelque part dans un livre, elles se basent sur un principe de douze. Ce nombre indique symboliquement un cycle complet car c’est la multiplication du nombre de l’esprit (3) par le nombre de la matière (4), et c’est précisément ce qu’est la création. Donc un rythme sur base de 12 décrit toutes les possibilités qu’offre la connexion entre l’esprit et la matière, et c’est la raison pour laquelle nous avons 12 signes et 12 maisons. Il est dès lors logique de baser une technique de pronostication sur ce tempo de 12 et c’est ce qu’on appelle les profections. Il existe plusieurs variantes des profections : par signe ou par maison, mais ce qui semble bien fonctionner, c’est de prendre une maison (Placidus) par an.

Nœud Nord

En 2016, quand Trump est devenu président avec des fridaires extrêmement favorables, ainsi que des progressions tout aussi prometteuses, il avait 70 ans et sa profession était arrivée en Maison 11 par profection. La Maison 11, qui donc donne un aperçu de l’année, est une maison bénéfique, la maison des fruits du labeur, ce qui est très approprié. Sur la cuspide de 11, on trouve la très bénéfique Bételgeuse de la Constellation d’Orion et Maître de 11, c’est Mercure, qui non seulement est en Maison 11 mais aussi sur le Nœud Nord (succès, expansion) par antisce, conjoint au Soleil/Maître de 1 (royauté) sous la très puissante Capella (du Chariot)

Saturne en détriment

Dans la Maison 11, il y a aussi la conjonction Vénus-Saturne en Cancer, ce qui est moins favorable : Vénus est Maître de 10 de la carrière, mais Saturne est une maléfique en détriment. Cependant, ceci est amplement contrebalancé, comme on l’a vu. Quand il perdit en 2020, la profession était arrivée dans la cadente et faible Maison 3, avec la royale Spica sur sa cuspide (il est quand même arrivé très loin), mais Maître de 3/Vénus est conjointe à Saturne en détriment. Saturne est Maître de 7 de l’adversaire, sous la royale Pollux, qui favorise donc son adversaire, ce qui a effectivement bloqué sa carrière. Vénus elle-même est sous Procyon, le Petit Chien malin et agile, qui est très puissant mais agit contre les autorités, ce qui n’est pas aussi favorable pour qui veut conserver la présidence.

Petit Chien

Et à quoi ceci ressemblera-t-il en 2024, l’an prochain, quand Trump essayera de faire un come back ? La profection arrivera cette année dans la Maison 7 de l’adversaire, ce qui est très approprié. Mais Maître de 7 est bien sûr ce Saturne en détriment sous la royale Pollux conjoint à Vénus/Maître de 10, qui est tenu en échec par Saturne. Une répétition de ce qui s’est produit il y a 4 ans, mais de façon différente. Donc ceci ne semble pas très favorable. Procyon, sous laquelle se tient Vénus/Maître de 10 aura un effet positif dans ce contexte cependant, car maintenant il défie les autorités. Cependant, ce n’est pas encore joué avec certitude car il faut toujours interpréter les profections dans le contexte de ce que montrent les autres méthodes de pronostication. Et c’est ce qu’on verra par la suite…

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