En décembre, on a découvert la comète C-19, qui à l’époque était encore si peu brillante qu’on la voyait à peine avec un puissant télescope. Pourtant, elle suscita directement beaucoup d’émoi : la comète reçut le nom d’Atlas, parce qu’il semblait qu’elle deviendrait très brillante en se rapprochant de la Terre et du Soleil. Va-t-elle vraiment devenir aussi brillante, on ne le sait pas encore ; la semaine dernière, Atlas avait l’air de faiblir, les comètes étant, comme on pouvait s’y attendre vu leur nature, passablement imprévisibles. Pourtant, tout est tellement remarquable chez cette comète que cela vaut la peine d’en parler d’un point de vue astrologique aussi.

Traditionnellement, les comètes sont aussi appelées des “étoiles chevelues” et on les considère comme des signes d’évènements spéciaux, spectaculaires, elles bouleversent toujours, de façon un peu dramatique, l’ordre normal des étoiles et des planètes dans le ciel. Une comète serait donc pile le phénomène auquel s’attendre au moment où l’épidémie de Corona tient le monde sous sa griffe. Soyons bien clair : astrologiquement, ce n’est pas n’importe quelle petite comète qui est digne d’intérêt, alors que nos cousins éloignés, les astronomes, les découvrent avec leurs très puissants télescopes, mais uniquement celles qui sont visibles à l’oeil nu. En astrologie, la lumière joue toujours un rôle fondamental, mais cette comète semble, même si elle est plus faible que prévu, posséder suffisamment de lumière pour pouvoir être perçue sans aucun appareil.

Le nom C-19 est déjà remarquable en lui-même, ainsi que le fait qu’elle ait été découverte en décembre, alors que le début de l’épidémie de Corona se manifestait à Wuhan. En outre, on catalogue une comète selon sa signature complète, et dans son livre “Astrologia Restaurata”, William Ramesey décrit cette méthode traditionnelle pour l’interprétation astrologique des comètes. Ce qui est important, c’est la couleur, qui montre l’énergie planétaire oeuvrant au sein de la comète : Atlas est bleu-vert, ce qu’on peut associer avec Mercure. En plein dans le mille : Mercure est le significateur des poumons et du commerce, des activités économiques et des transports ! Ensuite, le signe dans lequel la planète fait son apparition, donne de plus amples indications sur le domaine dans lequel l’effet préjudiciable de la comète se fera le plus sentir.

La comète Atlas fait à peu près tout son trajet (projeté) au sein du signe des Gémeaux, un signe humain, mercurien, qui est en lien avec le mouvement et les échanges ! En outre, ce qui frappe, c’est que la comète croise le zodiaque le 23 mai (la ligne d’intensité maximale), et qu’elle se conjoint aux Pléiades, les Pleureuses. Le nom de la comète, Atlas, le Titan qui est quasiment écrasé sous le poids du globe terrestre, convient très bien à la scène : c’est le père des Pléiades et aussi de leurs demi-soeurs les Hyades (toutes proches). En ce qui concerne les constellations, Atlas se déplace à travers la constellation de Persée, le héros qui a décapité la Gorgone Méduse-Algol, et Algol jouait le rôle principal lors de la déclaration de la crise sanitaire (cf. posts des dernières semaines).

Reste à savoir si la visibilité d’Atlas sera plus prononcée, mais l’interprétation est claire. Entre le 25 mars et le 31 mai, elle devrait être bien visible, ensuite elle le sera beaucoup moins. Si nous relions le déplacement d’Atlas avec la crise, nous pouvons donc nous attendre à ce que, courant juin, on prenne les premières mesures sérieuses en vue d’un assouplissement du lock-down.

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