Donald Trump se débat encore vigoureusement, mais il ne semble pas que son séjour à la Maison Blanche puisse encore se prolonger d’une quelconque manière. Les accusations de fraude et les procès qu’intente son équipe, semblent aussi servir un autre dessein, plutôt, la mobilisation de l’arrière-garde. Et même s’il n’est plus président, Trump fera encore parler de lui et avec cette fidèle arrière-garde, qui pense sérieusement avoir été trompée, il a une base solide pour exercer une influence à l’intérieur et à l’extérieur de son parti.

Maintenant que la Grande Conjonction (GC) de Jupiter-Saturne passe finalement en signes d’Air, il faut vraiment se demander si le terreau politique du populisme de Trump n’est pas en train de disparaître petit à petit. Il se base en effet sur la résistance aux changements qu’apporte la période d’Air : la globalisation, la migration de foules, la disparition de l’industrie des énergies fossiles, la fin de la nation indépendante et le glissement du pouvoir vers l’Est. Les vingt années passées étaient, à cet égard, des années de transition, critiques et très tendues. La GC de 2000 trouvait encore place en signe de Terre, mais en décembre de cette année, ce sera définitivement terminé.

La Malédiction

Peut-être Trump est-il aussi bien content, il échappe ainsi en tout cas à la Malédiction de Tecumseh. C’était l’imprécation prêtée au chef indien Tecumseh (prononcée vers 1812) : que chaque président américain, qui serait élu dans une année divisible par 20, meure durant son mandat. Et c’est ce qui est arrivé, du moins jusqu’à Ronald Reagan (1980). Reagan a échappé de peu à une tentative d’assassinat, tout comme G.W. Bush (2000), et en outre, Bush a dû faire face au 11 septembre. Ceci suggère que l’astrologie pourrait expliquer en partie le phénomène, parce que 20 ans, c’est le cycle des GC et une nouvelle GC, se produisant toujours dans une année divisible par 20, apportera de grands changements.

Donc un président élu lors d’une année de ce genre devra faire face à des tensions politiques causées par ces changements. Ce qui pourrait expliquer en partie la mort par assassinat, et non par maladie. Voici qui demeure bien un peu mystérieux, mais ce qui est certain, c’est que Joe Biden a été élu dans une période de hautes tensions politiques et dans une année concernée par la Malédiction de Tecumseh, bien que Reagan (1980) et Bush (2000) aient survécu. Ainsi donc, Biden, qui est assez âgé, court-il un risque ? Le thème de son investiture, la naissance de sa présidence, peut éclairer un peu ce sujet (cliquez sur le bouton download ci-dessous).

Investitures

Le jour, le lieu et l’heure des investitures sont toujours identiques, seules les années diffèrent, donc ces thèmes se ressemblent beaucoup. Pour pointer les caractères spécifiques d’une présidence, seuls ces éléments ne devraient pas être analysés de façon automatique pour leur position, car on a affaire à une date fixe, une heure fixe et un lieu fixe. D’entrée de jeu, celle-ci semble très ennuyeuse, car Pluton est pile sur le MC et ce n’est certes pas ce qu’on aimerait voir ! Le MC lui aussi tombe sous Terebellum, une étoile du destin, mais cela ne compte pas, puisque c’est toujours pareil.

Vénus, très importante car Maître de 1, est par antisce (position en miroir le long de l’axe 0 Cancer- 0 Capricorne) sur la cuspide de 8 de la mort, et elle se trouve sous Véga, dans le Vautour Cadent, hmmm. Saturne aussi est très important, en Maître de 10 conjoint à Jupiter Maître de 8 de la mort, situé en Maison 10. Saturne est au carré du violent Mars en détriment en Taureau, sous la violente Hamal dans la Corne du Bélier, sous Uranus castrateur dans la Maison 12 du secret. Pas joli joli. Et donc : la Malédiction de Tecumseh va-t-elle à nouveau frapper ?

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